Ouvrez les gens, ouvrez la porte,
Je frappe au seuil et à l’auvent,
Ouvrez les gens, je suis le vent
Qui s’habille de feuilles mortes.
Je frappe au seuil et à l’auvent,
Ouvrez les gens, je suis le vent
Qui s’habille de feuilles mortes.
Emile Verhaeren |
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